"La civilisation démocratique est entièrement fondée sur l'exactitude de l'information. Si le citoyen n'est pas correctement informé, le vote ne veut rien dire." Jean-François Revel - Extrait d'un Entretien avec Pierre Assouline - Novembre 1988

mercredi 31 juillet 2013

2000 ans d'Histoire de France - Etre français c'est savoir que les élites peuvent trahir le peuple...

LA VIDEO







L'adieu au steak : 4 mensonges sur la viande

pas 1, pas 2, pas 3 mais 4 mensonges sur un produit, quand on aime le fric on ne compte pas les mensonges >>>



Résumé
De nombreuses études montrent que trop de viande rouge peut non seulement menacer la santé, mais également hypothéquer l'espérance de vie. Quant aux viandes blanches, elles contiennent trop souvent des résidus d'antibiotiques. De manière générale, les élevages sont aujourd'hui des entreprises high-tech dans lesquelles on oublie totalement que les animaux sont des êtres vivants et non pas de simples produits. Et pour nourrir ces animaux, l'Europe doit importer du fourrage de pays du Sud, au détriment des populations locales. Si on ajoute à ce tableau la contribution des élevages au réchauffement climatique et la pollution de l'environnement par les produits chimiques, il semble que le consommateur soit bientôt amené à reconsidérer ses habitudes.


Pas de doute, les consommateurs adorent la viande. L'Europe en produit plus de 45 millions de tonnes par an et la consommation mondiale a été multipliée par cinq en cinquante ans. Le steak est symbole de force, de gastronomie, de nature. En France, il n'est pas de bonne table sans pièce de boeuf. Et, de part et d'autre du Rhin, les publicités font rimer vaches et pâturages. Mais si tout cela n'était que tromperie ? C'est ce que montre le documentaire de Jutta Pinzler, qui décrit l'envers du décor, voix off de Nathalie Baye à l'appui.
Premier mensonge : le plein air. En réalité, les 70 kilos de viande qu'un Français mange chaque année sont issus pour une grande part d'élevages industriels, dans lesquels les animaux ne voient quasiment pas le jour. Exemple : ces 38 000 poulets d'une exploitation allemande, gavés d'antibiotiques dès la naissance. Par pure prévention. Avec pour conséquence l'apparition de germes résistants, qui seraient responsables de plus de 15 000 morts par an.
Deuxième mensonge : la viande est bonne pour la santé. Alors même qu'on la sait responsable de surpoids, de maladies cardiovasculaires, de cancers. En Chine, ces maladies ont connu une forte augmentation depuis que la viande rouge s'est imposée à table. "Dans les vingt prochaines années, 21 millions de Chinois seront atteints de maladies cardiovasculaires, prévient un médecin. Elles pourraient être fatales pour un tiers d'entre eux."
Troisième mensonge : le bien-être des animaux. Il suffit de visiter, au Danemark, une ferme d'engraissement de Danish Crown, deuxième producteur de porcs au monde. Des cochons serrés sous les néons, des truies en cage huit mois par an, dopées aux hormones...
Le quatrième mensonge, enfin, concerne les populations rurales latino-américainesconfrontées à l'explosion des cultures de fourrage à destination des exploitations européennes. Et aux pesticides, responsables de maladies et de malformations. Pourquoi ces situations dramatiques ?"C'est le marché qui décide", tranche Roger Waite au sein de la Commission européenne. Des propos qui sonnent comme des insultes à la dignité humaine.
Morgane Bertrand


mardi 30 juillet 2013

Finances mondiales, croissance, crise, Olivier Delamarche

LA VIDEO

>>>>>> https://www.youtube.com/watch?v=fC6SN6HY6lM


"La dette c'est pas un problème, l'impression de billets c'est pas un problème, alors qu'est ce qu'on nous embête avec Détroit ?"

"On a imprimé 1000 milliards de dollars en 2013 pour 160 milliards de pib (1 pour 6) !"

"Abe est en train d'euthanasier le Japon"


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Pas un mot sur le web français au sujet des propos de Jurgen Stark !

France : besoin du soutien de la BCE dès la fin de l'automne...

>>>>>> https://www.google.fr/search?hl=fr&gl=fr&tbm=nws&authuser=0&q=jurgen+stark&oq=jurgen+stark&gs_l=news-cc.3..43j43i53.6494.10967.0.12512.12.3.0.9.0.0.102.293.2j1.3.0...0.0...1ac.1.rqOdHneXzK0


A peine nommé, le gouvernement bulgare est déstabilisé par une vague de manifestations

en Bulgarie des manifestations anti-gouvernement ont lieu depuis 46 jours, ce pays fait partie de l'UE depuis le 1er janvier 2007...



La Bulgarie connaît une crise politique et morale d'une gravité exceptionnelle. Depuis deux semaines, les manifestations quotidiennes se succèdent devant les lieux de pouvoir à Sofia, plus particulièrement l'enceinte du Parlement. Le 25 juin, les députés ont été empêchés de tenir séance. Ils étaient de toute façon moins d'une moitié à s'être présentés. La protestation a gagné des villes de province.


Les manifestants, qui dénoncent les moeurs des dirigeants politiques, exigent la tenue de nouvelles élections législatives anticipées dès cet automne.


Manifestation antigouvernementale, le 27 juin à Sofia.
Or les précédentes ont eu lieu le 12 mai. A leur issue, le Gerb, le parti de centredroit de l'ancien premier ministre Boïko Borissov, avait perdu le pouvoir, déstabilisé par une vague de manifestations sociales en février. La gauche a constitué un gouvernement dit "technique", dirigé par Plamen Orecharski. Mais de technique, celui-ci a vite basculé dans l'entreprise partisane. En cause, les nominations de personnalités à la moralité douteuse, dans une confusion, classique en Bulgarie, entre intérêts publics et privés.
Une promotion a mis en rage la population : celle de Delyan Peevski à la tête de l'agence de sécurité nationale, la DANS. Outre son mandat de député, auquel il a renoncé pour ce poste, cet homme de 32 ans est issu d'une famille exerçant une domination écrasante dans les médias, par ses chaînes, ses sites et ses journaux, dont les partis pris correspondent à ses calculs personnels. Il est issu du Mouvement pour les droits et les libertés, une formation représentant la minorité turque et musulmane, alliée indispensable des socialistes pour composerune majorité.

L'OPINION PUBLIQUE BULGARE APPROUVE LES MANIFESTATIONS

La candidature de M. Peevski a été approuvée par le Parlement le 14 juin, sans débat. Les députés du Gerb avaient choisi de quitter l'hémicycle en signe de protestation. "Peevski a considéré qu'il était si puissant qu'il pouvait sortir de l'ombre, explique le politologue Ivan Krastev. Les socialistes, eux, voulaient quelqu'un capable de détruire Borissov et le Gerb. C'est un peu comme si, en France, Tapie était nommé à la tête du Conseil constitutionnel." Ancien vice-ministre chargé des catastrophes et des situations d'urgence dans un précédent gouvernement socialiste, dont il fut renvoyé en 2007, M. Peevski avait été visé par une enquête pour corruption, abandonnée par la suite.
De façon écrasante, l'opinion publique bulgare approuve les manifestations, qui ont rassemblé jusqu'à 15 000 personnes. Selon un sondage d'Alpha Research, ils sont 85 % à s'opposer à la nomination de M. Peevski. Le soutien au gouvernement, à peine entré en fonctions, s'effondre à 23 %. Celui au Parlement, à 14 %. Le président bulgare, Rossen Plevneliev, s'est rangé très vite du côté du peuple, en saluant la "bonne nature démocratique" du mouvement.
Face à cette crise majeure, le gouvernement a décidé de retirer la direction de la DANS à Delyan Peevski, quatre jours à peine après sa confirmation. Mais l'exaspération populaire est si puissante que ce petit recul ne pouvait la contenter. La composition des manifestants est très différente des mouvements sociaux de février, qui étaient les plus importants depuis vingt ans, soulignent les observateurs. "C'était alors les campagnes qui s'étaient mobilisées, sur les questions sociales, rappelle Ivan KrastevCe qui les préoccupait n'était pas la politique, mais la hausse des prix. Là, nous sommes en présence des classes moyennes urbaines éduquées."

LES MANIFESTANTS POUR UN CHANGEMENT DE LA LOI ÉLECTORALE

Le 27 juin, le sulfureux dirigeant du parti nationaliste Ataka, Volen Siderov, a qualifié les manifestants de "hooligans", commettant des "actes de terreur". M. Siderov fait partie des nominations douteuses. Il a été désigné, grâce à la gauche, à la tête de la commission parlementaire d'éthique et de lutte contre la corruption. Une récompense pour son rôle dans la confirmation du gouvernement, qui, sans lui, ne recueillait que 120 voix sur 240.
Acculé, le leader des socialistes, Sergueï Stanichev, a fini par admettre la possibilité de nouvelles élections. "Si Ataka déclarait ne plus participer au travail du Parlement, cela changerait la situation en vue d'élections anticipées", a-t-il concédé. Les manifestants réclament au préalable un changement de la loi électorale, pour permettre aux petits partis d'entrer au Parlement. Toutefois, si des élections anticipées étaient fixées, un gouvernement intérimaire n'aurait pas les compétences pour changer la loi.

Sylvie GOY-CHAVENT - Sénatrice de l'Ain - Rapporteure de la Mission Commune d'Information sur la filière viande - JE VOUS APPELLE A L'AIDE ! - C'est le moment de défendre la Démocratie.

le statut FB de Sylvie Goy-Chavent ce jour

>>>>>>


JE VOUS APPELLE A L'AIDE !
Face au silence du Gouvernement et des médias nationaux, 
vous seuls pouvez changer les choses.
Mobilisez-vous et partagez cette publication,
Diffusez ce message par tous les moyens possibles (FB, mail, courrier...),
Parlez-en partout,
Informez la presse et alertez vos élus.
Le pouvoir vous appartient. Quelles que soient vos origines, vos convictions ou votre religion, c'est le moment de défendre la Démocratie.
JE COMPTE SUR VOUS

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Monsieur le Président de la République,

La Mission Commune d'Information du Sénat sur la filière viande vient de rendre public son rapport.

Parmi la quarantaine de propositions adoptées à l'unanimité par les Sénateurs, figure l'étiquetage de la viande issue des filières d'abattage sans étourdissement préalable. En effet, comme vous le savez de nombreux animaux sont aujourd'hui abattus en France de façon rituelle, sans étourdissement et une grande partie de la viande issue de ces filières est écoulée dans les circuits de distribution classique, sans aucune information des consommateurs.

Avant même la publication officielle de ce rapport, j'ai été victime d'insultes graves à caractère raciste, de diffamations publiques et de menaces de mort sur internet.

Pour votre parfaite information, sachez que plusieurs collègues Parlementaires de gauche comme de droite et moi-même réfléchissons également à la possibilité d'étiqueter les produits issus des colonies israéliennes en Cisjordanie, ces produits étant le plus souvent commercialisés en France avec la mention "Made in Israël", en totale contradiction avec le droit français et international.

Depuis quelques jours, des groupes proches de l'extrême droite israélienne se déchainent contre moi et appellent ouvertement à la haine et à la violence.

Hier, un message à peine voilé appelant à la guerre civile et demandant explicitement au Gouvernement Israélien de mener des attaques contre la France a également été publié sur un site internet.

Différentes personnes, notamment des Parlementaires, m'ont conseillé de faire preuve de la plus grande prudence, évoquant même la possible intervention contre moi des services spéciaux d'une puissance étrangère.

Alors que la France et ses valeurs semblent aujourd'hui menacées et que l'élue que je suis fait l'objet de graves menaces, j'en appelle au Président de la République pour faire respecter le droit et me permettre d'exercer mon mandat librement et en toute sécurité.

Veuillez agréer, Monsieur le Président de la République, l'expression de ma haute considération.

Sylvie GOY-CHAVENT
Sénatrice de l'Ain
Rapporteure de la Mission Commune d'Information sur la filière viande

A l'attention de Monsieur François HOLLANDE
Président de la République Palais de l'Elysée
55 rue du Faubourg Saint-Honoré
75008 Paris



source : http://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=484505601635078&id=377730338979272


la lettre en ligne : http://www.cercledesvolontaires.fr/2013/07/27/lettre-ouverte-de-sylvie-goy-chavent-au-president-de-la-republique/

dimanche 28 juillet 2013

CHEMTRAILS, vous connaissez ? Littéralement "traînées chimiques", en français : épandages aériens clandestins


Au téléphone Claire Henrion du site ACSEIPICA  spécialiste en épandages aériens clandestins



Radio ado.fm, Bob vous dit toute la vérité, l'émission

>>>>>> http://www.dailymotion.com/video/xz69lx_claire-henrion-vous-dit-tout-sur-les-chemtrails-18-avril-2013_news


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Le journal « L’Humanité » refuse de poursuivre le débat sur l’Euro




Le 26 juillet 2013.

Tout avait bien commencé.

Le 13 juin dernier, conformément à sa ligne éditoriale, l’Humanité publiait l’une de ses nombreuses tribunes ou chroniques dénonçant la sortie de l’euro. Cette dernière tribune était signée par six économistes du PCF. Jacques Nikonoff, porte-parole du M’PEP, et Jean-Claude Danglot, ancien sénateur et ex-secrétaire de la fédération du Pas-de-Calais du PCF, proposaient une réponse qui était publiée dans l’Humanité du 2 juillet.

  • Pour accéder à la tribune des économistes pro-euro du PCF (13 juin) et à la réponse de Jacques Nikonoff et Jean-Claude Danglot (2 juillet), cliquez ci-dessous :
    http://www.m-pep.org/spip.php?article3387



La tribune de J. Nikonoff et JC Danglot a eu un impact certain parmi les membres et sympathisants du PCF en démontrant la faiblesse de la théorie de « l’autre euro ». C’est pourquoi les six économistes pro-euro du PCF ont publié une nouvelle tribune dans l’Humanité le 9 juillet 2013 pour essayer de redresser la situation. C’est le contraire qui s’est produit, leur texte a été particulièrement contre-productif.
 
On aurait pu croire que le journal l’Humanité allait poursuivre son ouverture et encourager le débat sur la question de l’euro. Hélas ce n’est pas le cas puisque la nouvelle réponse de J. Nikonoff et JC Danglot aux six économistes pro-euro du PCF a été refusée par l’Humanité. Cette tribune, en effet, si elle avait été publiée, aurait risqué de mettre le coup de grâce à la thèse déjà chancelante de « l’autre euro, l’autre BCE, l’autre construction européenne ». Ainsi le débat est brutalement interrompu, les économistes pro-euro du PCF ayant pu s’exprimer deux fois, alors que ceux qui prônent la sortie de l’euro et de l’Union européenne par la gauche une seule fois.
 
Mais le débat se poursuivra ailleurs, et ni la politique de l'autruche ni la censure ne pourront faire cesser le doute et le malaise des militants et des sympathisants du Front de gauche. Ces derniers, en effet, croient de moins en moins à la thèse d'un changement de politique radical sans remise en cause de la monnaie unique imposée par une Union européenne qui démontre tous les jours sa vraie nature.




le Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP).

"Panorama Actu" sur Méridien Zéro - Monsieur K, Adrien Abauzit et Xavier Eman

Émission n°154 : "Panorama Actu"




Pour cette dernière émission de l'année, MZ reçoit trois observateurs attentifs du monde comme il ne va pas,

Monsieur K, Adrien Abauzit et Xavier Eman, pour revenir sur le grand mouvement de ce printemps, analyser les récents événements de Trappes et disséquer la lente restriction des libertés publiques dans notre pays.

L'émission fera également un petit détour par Détroit qui préfigure sans doute notre futur économique.
A la barre: Jean-Louis Roumegace
Lord Tesla à la technique.

l'émission


Pierre Faillant de Villemarest - Le nouvel ordre mondial

"les dés sont pipés..."      "le roi est nu..."




http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=XW1rzEbrgOM

samedi 27 juillet 2013

Quand Obama administre sa colonie française... (cercle des volontaires)

Quand Obama oblige Renault à quitter l'Iran... à son grand dam


Alain-Gabriel Verdevoye | 26/07/2013 - 775 mots

Le "diktat" du président américain oblige Renault à cesser toute activité en Iran. Faute de quoi, l'Alliance Renault-Nissan risquerait de ne plus pouvoir commercer avec les Etats-Unis. Renault a produit à travers ses partenaires 100.000 voitures en Iran l'an dernier... Déjà, PSA avait dû se retirer en 2012 sous la pression de GM. Un manque à gagner pour l'industrie tricolore !
"Le président Obama a donné l'ordre de cesser l'activité en Iran", a affirmé ce vendredi, Carlos Tavares, Directeur délégué de Renault, non sans ironie et une certaine amertume. Faute de quoi, les entreprises qui commerceraient encore avec ce pays se verraient interdire toute activité aux Etats-Unis. "Des  discussions diplomatiques ont lieu d'Etat à Etat entre la France et les Etats-Unis" à ce sujet. Mais, en attendant d'éventuelles avancées sur ce sujet, Renault se voit contraint, après PSA, d'interrompre ses lucrativres activités en Iran. "On n'a pas le choix"; souligne Carlos Tavares. Implantés historiquement, les deux constructeurs français sont frappés de plein fouet par le "diktat" américain. Ils détenaient tous les deux une part très importante du marché local... contrairement aux multinationales de Detroit GM ou Ford qui  en étaient absentes !
100.000 voitures
"Plus aucune pièce ne sort des usines roumaines mais également françaises à destination de l'Iran", indique Carlos Tavares. Renault ne fabrique pas directement en iran. Mais il fournissait des composants pour un assemblage sur place à travers deux partenaires Iran Khodro et Saipa.  Renault a vendu  plus de 100.000 véhicules l'an dernier et 28.000 encore au premier semestre, pour l'essentiel des Tondar, des Dacia Logan rebaptisées et vendues sous le label du losange. Certes, les partenaires iraniens ont des composants en stock pour fabriquer quelques véhicules  supplémentaires. Mais le flux va se tarir progressivement. Renault avait naguère produit à  travers un licencié des R5 dans le pays... La firme française a du coup souffert au premier semestre de lourdes charges liées à l'arrêt "de fait" de ses activités en Iran.
Mise en garde de Philippe Marini
Le président de la Commission des finances du Sénat, Philippe Marini, s'alarmait fin juin de nouvelles sanctions américaines contre l'Iran qui allaient, selon lui, affecter durement les groupes automobiles français. Dans une tribune transmise à l'agence Reuters, il appelait les autorités françaises à obtenir de la présidence des Etats-Unis une exemption pour la France ou l'engagement que les mesures prévues ne seraient pas mises en oeuvre à son encontre. Evoquant le texte "13645" du 3 juin qui prévoit ces sanctions, il jugeait que la forte présence de l'automobile française en Iran "la place inévitablement au premier rang des victimes de cette mesure".
Arrêt de PSA en 2012
PSA avait déjà du tout arrêter, sous la pression de General Motors, avec lequel il a signé une alliance fin février 2012. Les exportations de  collections de pièces destinées aux véhicules Peugeot traditionnellement fabriqués en Iran ont été stoppées en 2012. PSA affirme qu'il s'est ainsi conformé aux sanctions internationales. Toutefois, des sources internes assurent que PSA a arrêté les flux de composants sur demande expresse de General Motors. Le consortium du Michigan ne voulait pas que son allié soit présent dans un pays placé sur la liste noire des pays avec lesquels les Etats-Unis interdisent le moindre commerce. Soit un manque à gagner pour PSA de plus de 313.000 véhicules en 2012 et, potentiellement, de plus de 400.000 unités environ en 2013. L'Iran avait absorbé 467.000 unités du groupe PSA en 2010, 457.900 en 2011 ! La marque Peugeot s'octroyait avant les sanctions grosso modo 30% du marché local.  Il s'agissait d' « opérations très rentables », souligne une source interne de PSA.
Des accords remontant au Shah d'Iran
Il s'agissait en fait d'une très vieille implantation, qui remontait aux temps du Shah.  Peugeot  avait hérité d'anciens accords passés entre la branche britannique de Chrysler et le groupe local Iran Khodro, le même que celui qui assemble aussi les Renault Tondar. Et c'est en reprenant les activités de Chrysler Europe en 1978 que la firme française avait trouvé dans la corbeille de mariée les fournitures de pièces pour le modèle Hillmann Hunter de 1966, un véhicule créé par le groupe britannique Rootes devenu entretemps Chrysler UK. Ouf!La Hunter a été assemblée sous licence jusqu'à une date récente par Iran Kodro sous le nom de Paykan depuis la fin des années 60. Peugeot a progressivement ajouté sa 405 (de 1985), laquelle a relayé in fine la Paykan dans le rôle de berline nationale. La firme tricolore a aussi introduit sa 206, notamment dans une version spécifique à quatre portes et coffre séparé.



La justice française interdit la diffusion d’images de deux élevages intensifs (huffingtonpost.fr)

Comment a-t-on pu arriver à ce que la justice française interdise la diffusion d’images reçues par notre association, L214, dans des élevages intensifs français, montrant des infractions flagrantes à la réglementation européenne ?

Commençons depuis le début, L214 est une association de protection animale qui œuvre pour une prise de conscience des conditions d’élevage et d’abattage des animaux dits « de consommation » (son nom vient de l’article L214 du Code rural français qui stipule que les animaux sont des êtres sensibles). L’association documente ces pratiques : photographies, films et vidéos qui, criants, insoutenables, incontestables, s’avèrent souvent le moyen le plus adapté pour rendre compte de la réalité de la production de viande.

Attention, ces images ne proviennent pas des élevages mentionnés dans cette tribune

Dernièrement, L214 reçoit deux signalements : photos et vidéos de deux élevages intensifs contenant respectivement 111.000 et 200.000 poules pondeuses et approvisionnant l’entreprise Matines. Ce sont des informations qui, vérifiées et confirmées par les services vétérinaires ou l’exploitant lui-même, parlent de la non-conformité de ces élevages -en infraction avec la réglementation européenne- et qui montrent des conditions de vie et « de production » déplorables : dans un des deux élevages, les poules et les œufs couverts de parasites, dans l’autre, des cadavres en putréfaction bloquant des œufs, dans les deux, des poules déplumées et des aménagements non conformes. Une promiscuité et une misère représentant le quotidien des animaux d’élevage, bien connues des associations de protection animale. En revanche, c’est une réalité qui ne se laisse pas filmer avec l’accord des exploitants… et qui perce rarement dans les médias.
Le premier élevage est exploité par la société Val Produits sur la commune de Branges en Saône-et-Loire (code sur les oeufs : 3FRWFB02 et 3FRWFB03 ). Le deuxième est exploité par le GAEC du Perrat sur la commune de Chaleins dans l’Ain (code sur les oeufs : 3FRAAB02 et 3FRAAB03). Les deux produisent des œufs de la marque Matines Mas d’Auge et des marques de distributeur et approvisionnent Système U, Carrefour, Casino, Monoprix.
Mise au courant de ce qu’il s’y passe, L214 demande aux gérants de ces élevages qu’une mise aux normes soit réalisée au plus vite et en informe les services vétérinaires et les chaînes de distribution concernées. Après la confirmation de non-conformités par les services vétérinaires, Casino a décidé de stopper provisoirement ses approvisionnements auprès du GAEC du Perrat.
En réponse, les exploitants ont déposé un référé contre l’association et obtenu l’interdiction d’utilisation des images prises à l’intérieur des élevages sans l’accord du propriétaire. Des réparations financières ont été ordonnées dans les deux cas.
Ce qu’il se passe dans une unité industrielle d’élevage a donc été considéré comme relevant de la vie privée et de l’intime ; tandis que L214 se retrouve criminalisée dans son rôle d’information.
Le consommateur semble quant à lui le facteur le plus important quand il achète… et le plus négligeable quand il faut l’informer sur ses achats. Du moins, c’est vers cette conclusion que la justice nous dirige avec fermeté.
Ce n’est pas la première fois qu’en France, des filières agricoles tentent de faire interdire des images prises en élevages ou abattoirs, jusqu’alors avec plus ou moins de succès (éleveurs de lapins, Charal…). Mais si ces jugements se généralisent, l’industrie agroalimentaire restera seule maîtresse à bord et les seuls animaux d’élevage que connaîtront les consommateurs danseront le French Cancan dans les publicités.

vendredi 26 juillet 2013

L'EMPLOI INTÉRIMAIRE S'EST EFFONDRÉ DE - 11,2 % EN FRANCE DEPUIS UN AN. CET INDICE EST ANNONCIATEUR D'UNE NOUVELLE FLAMBÉE DE CHÔMAGE EN FRANCE DANS LES MOIS QUI VIENNENT






Le dernier "baromètre Prism'emploi" - qui regroupe 600 entreprises représentant 90% du chiffre d'affaires de l'intérim - vient d'être publié ce vendredi 26 juillet.

Il révèle que l'emploi intérimaire a chuté de -11,2 % en juin 2013 par rapport à juin 2012.

Il s'effondre dans tous les secteurs : 

- transports : - 8 %
- industrie (qui emploie près de la moitié des effectifs intérimaires) : - 11,4 %
- BTP : - 10,2 %
- services : - 12,5 %
- commerce : - 13,2 %.


Cette chute s'accentue d'ailleurs depuis le 1er janvier 2013 car elle atteint - 12,8 % sur le premier semestre de l'année par rapport à la même période en 2012.


Par ailleurs, toutes les qualifications sont concernées : 


- cadres et professions intermédiaires : - 15,8 %
- ouvriers non qualifiés : - 13,2 %
- ouvriers qualifiés : - 10,4 %
- employés : - 11,8 %.

[source : http://www.prisme.eu/Web_Accueil/Communiques_de_presse.aspx ]


Cet indicateur de l'emploi intérimaire est toujours suivi avec beaucoup d'attention par les économistes et les conjoncturistes car il est connu pour être un bon précurseur des évolutions à venir du marché de l'emploi global. Et cela pour une raison logique : lorsque la conjoncture s'aggrave, les dirigeants d'entreprise commencent évidemment par diminuer le recours aux intérimaires, avant de se résoudre à licencier leurs effectifs. 



Commentaires
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L'emploi intérimaire a commencé à dégringoler en octobre 2011, il y aura bientôt deux ans. Sa chute s'accélère. Il préfigure la poursuite de la montée, puissante et inexorable, du chômage en France.

Ces évolutions sont parfaitement connues du gouvernement français : Michel Sapin, le ministre du « travail » [sic ] interrogé sur Europe 1, hier 25 juillet, n'a pu trouver à commenter la situation qu'en ressassant des promesses auxquelles plus personne ne fait attention, et en lançant une piteuse antiphrase : sur le front du chômage, « le retournement n'est pas là ».

Cette apathie gouvernemental est une énième preuve que les dirigeants français, pieds et poings liés par les oukases délirants de la Commission européenne et de la BCE, sont non seulement totalement irresponsables mais coupables de non-assistance à peuple en danger.

Sous l'effet de leur nullité technique et de leur lâcheté politique, les européistes continuent à envoyer le "train France" à toute allure dans le décor. Et tant pis pour les morts, les blessés, et la destruction de la France. 


FA

jeudi 25 juillet 2013

LE VIEUX CORDELIER N°19 : LES AMIS DE LA FINANCE

Le commentaire de l'Oeil de Brutus sur FB


En régime pseudo-démocratique à tendance oligarchique (articles numéros 23, 24, 28, 29), l’usage récurent du double langage est une rhétorique coutumière des gouvernants. Il en est ainsi lorsque l’on se proclame l’ennemi de la finance pour dès la sortie du meeting prendre la poudre d’escampette de l’Eurostar afin d’aller rassurer les banquiers de la City.

Force aujourd’hui est de constater qu’entre ces deux langages, le second était, et de loin, le plus sincère. L’hôte de l’Elysée est donc bien l’ami de la ploutocratie financière et il dispose à Bercy d’un valet dont le zèle à complaire à ses amis de la finance internationale confine à la flagornerie la plus vile. Après une réforme bancaire en trompe l’œil, un abandon en rase campagne de toutes velléités contre les parasites fiscaux (25), des cadeaux en veux-tu en voilà aux rentiers (34), voici que MM. Hollande et Moscovici s’apprêtent donc à rogner sur une taxe sur les transactions financières pourtant déjà bien frileuse tout en faisant cadeaux aux banques de 25 milliards d’euros de nos livrets A et autres livrets développement durable (18) !





L'article correspondant de l'Oeil de Brutus sur son blog 



Le Vieux Cordelier se veut être le relais de toute pensée à même d’animer le débat sur la défense des valeurs républicaines de la France.
En dehors des articles de L’œil de Brutus, les liens donnés ci-après ne sauraient en aucun cas indiquer systématiquement une adhésion pleine et entière aux propos de l’auteur.
« Notre peuple porte de graves blessures, mais il suffit d’écouter battre son cœur malheureux pour connaître qu’il entend vivre, guérir, grandir. Le jour va venir où, rejetant les jeux stériles et réformant le cadre mal bâti où s’égare la nation et se disqualifie l’Etat, la masse immense des français se rassemblera sur la France. »
Charles De Gaulle.
Editorial – Les amis de la finance.
En régime pseudo-démocratique à tendance oligarchique (articles numéros 23, 24, 28, 29), l’usage récurent du double langage est une rhétorique coutumière des gouvernants. Il en est ainsi lorsque l’on se proclame l’ennemi de la finance pour dès la sortie du meeting prendre la poudre d’escampette de l’Eurostar afin d’aller rassurer les banquiers de la City.
Force aujourd’hui est de constater qu’entre ces deux langages, le second était, et de loin, le plus sincère. L’hôte de l’Elysée est donc bien l’ami de la ploutocratie financière et il dispose à Bercy d’un valet dont le zèle à complaire à ses amis de la finance internationale confine à la flagornerie la plus vile. Après une réforme bancaire en trompe l’œil, un abandon en rase campagne de toutes velléités contre les parasites fiscaux (25), des cadeaux en veux-tu en voilà aux rentiers (34), voici que MM. Hollande et Moscovici s’apprêtent donc à rogner sur une taxe sur les transactions financières pourtant déjà bien frileuse tout en faisant cadeaux aux banques de 25 milliards d’euros de nos livrets A et autres livrets développement durable (18) !
Dans tout cela, alors que le matraquage des classes moyennes et populaires continue, l’on s’exempte bien de toute réflexion sur le coût du capital (4) ou du moindre recul sur les effets de l’idéologie néolibérale au pouvoir depuis maintenant 30 ans (1, 3, 6). Pire : tel Laurent Fabius, l’on n’hésite guerre à lancer les mensonges les plus éhontés (7). Après tout, le PS n’en est plus à une trahison prêt.
Au final, c’est donc carpette face à la finance, carpette face à la technocratie bruxelloise (8, 9, 10, 11, 12) et carpette face à l’Allemagne (13). Le gouvernement des traîtres (17) est aussi le gouvernement des lâches.

EDUCATION
Eric Conan, Marianne, 29-juin-13.
Mots clés : éducation nationale pédagogiste.
Extrait : « Ce qui surprend le plus, c’est le silence pesant de ceux qui depuis deux décennies bondissaient de leur donjon pour réfuter avec aplomb les rabat-joies et les réactionnaires s’inquiétant de la dégradation des performances du système éducatif français. »



ARABIE SAOUDITE
Martine Gozlan, Marianne, 19-juil-13.
Mots clés : Arabie Saoudite totalitarisme islamisme Wahhabisme.
Extrait : « Depuis son fief des sables et grâce à ses pétrodollars, l'Arabie saoudite a financé dans le monde entier une propagande obscurantiste. Elle a formé les imams et déformé les cerveaux en diffusant une version sectaire de l'islam. Mécène des salafistes engagés dans les révolutions arabes de la Syrie à l'Egypte, le royaume reste une forteresse totalitaire. Et pauvre. »

CRISE DE L'EURO
Emmanuel Todd, Frédéric Lordon, Marianne, 06-juil-13.
Mots clés : Europe monnaie banques finance Allemagne marchés création monétaire BCE rigueur nation démocratie néolibéralisme FDG PS Gauche Mélenchon intellectuels économisme internationalisme mondialisme libre-échange.
Extrait : « Face au naufrage de l'Union européenne, Emmanuel Todd et Frédéric Lordon, deux grands adversaires de l'euro débattent d'une possible sortie de crise et en appellent à la souveraineté populaire contre le pouvoir des banques. »

ECONOMIE
Laurent Cordonnier, Le Monde diplomatique, juil-13.
Mots clés : coût du capital coût du travail salaires compétitivité rente crédit usure.
Extrait : « Afin de justifier toutes sortes de réformes, médias et gouvernants se prévalent de leur disposition à bousculer les « archaïsmes » et à faire preuve de courage. Mais il s’agit toujours en définitive de réduire salaires et prestations sociales. Il existe pourtant bien un tabou pénalisant tous ceux qui souhaitent investir et créer de l’emploi : le coût prohibitif du capital. »
Laura Raim, Le Monde diplomatique, juil-13.
Mots clés : Economie nudge finance économisme behaviorisme néolibéralisme efficience des marchés prévisions framing Obama Cameron Thales corruption conflit d'intérêts régulation.
Extrait : « Longtemps, les économistes classiques ont élaboré leurs modèles comme si les humains étaient des machines à calculer. Echec. Nourrie de psychologie, l’économie dite comportementale étudie donc nos réactions et nos décisions afin de les anticiper. Et de les influencer par des incitations subtiles. Il suffirait en effet d’un simple coup de pouce pour remettre travailleurs et consommateurs sur le droit chemin. »
Raphaël Homayoun Boroumand, Le Monde, 15-juil-13.
Mots clés : Néolibéralisme énergie Europe commission privatisme concurrence libre-échangisme.
Extrait : « Hantée par le dogme de la libéralisation à tout prix, la Commission Européenne a récemment rappelé la France à ses obligations de conformité avec la doctrine communautaire du « laissez-faire » à l'instar de la politique de déréglementation menée par la Grande-Bretagne et les Etats-Unis au début des années 1980 sous le tandem Thatcher-Reagan. C'est dans ce courant de pensée que s'inscrit la libéralisation des industries de réseaux (télécommunication, transport ferroviaire, transport aérien, réseau postal) et en particulier la libéralisation du secteur de l'énergie. La création du marché unique européen de l'énergie est à l'origine de l'idée même de libre concurrence au sein du marché commun instaurée par le Traité de Rome en 1956. »
Laurent Pinsolle, Gaulliste libre, 06-juil-13.
Mots clés : Europe monnaie protectionnisme Fabius mensonge.
Extrait : « La semaine dernière, Laurent Fabius était invité par Jean-Jacques Bourdin dans sa matinale. Il y a proféré d’énormes mensonges sur le retour aux monnaies nationales et le protectionnisme. L’occasion de démonter ce qu’il a avancé et de montrer que la dernière ligne de défense du système est la peur. »

EUROPE
Magali Pernin, Contre la cour, 24-juin-13.
Mots clés : Moscovici Commission Europe démocratie SMIC néolibéralisme.
Extrait : « Vendredi 21 juin, les ministres des finances européens jouaient la fine partition économique composée par la Commission. Aucune fausse note, aucune improvisation. Les ministres aiment la petite musique chantée depuis plusieurs années par les commissaires. »
Inconnu, Forum démocratique, 27-juin-13.
Mots clés : Villepin commission protectionnisme Europe démocratie Kroes Arcelor Mittal patriotisme économique libre-échange corruption conflit d'intérêts.
Extrait : « L’actuelle commissaire européenne de la société numérique et ancienne commissaire européenne en charge de la concurrence Neelie Kroes est méconnue des français. Pourtant c’est bien elle qui a, en moins de 48 heures, intimé à la France d’abandonner l’idée de protéger ses intérêts dans l’affaire Arcelor. »
Nathalie Gathié, Marianne, 29-juin-13.
Mots clés : Europe chômage emploi travail salaires Spie sous-traitance Portugal dumping social duming fiscal Bolkenstein inspection du travail Eiffage Bouygues Vinci.
Extrait : « Ils viennent trimer sur les chantiers, dans les transports ou les abattoirs, pour 3 à 6 € l'heure, au mépris de toutes les règles de sécurité. Et le plus légalement du monde. Car ces travailleurs "low cost" sont tous européens. »
Serge Halimi, Le Monde diplomatique, juil-13.
Mots clés : Europe Grèce FMI monnaie démocratie.
Extrait : « Les politiques économiques imposées par la défense de l’euro sont-elles encore compatibles avec les pratiques démocratiques ? La télévision publique grecque fut créée au lendemain d’une dictature militaire. Sans autorisation du Parlement, le gouvernement qui exécute à Athènes les injonctions de l’Union européenne a choisi d’y substituer un écran noir. Avant que la justice grecque suspende la décision, la Commission de Bruxelles aurait pu rappeler les textes de l’Union selon lesquels « le système de l’audiovisuel public dans les Etats membres est directement lié aux besoins démocratiques, sociaux et culturels de toute société ». Elle a préféré cautionner le coup de force, plaidant que cette fermeture s’inscrivait « dans le contexte des efforts considérables et nécessaires que les autorités fournissent pour moderniser l’économie grecque ». »
Magali Pernin, Contre la cour, 07-juil-13.
Mots clés : Moscovici commission Europe déficit rigueur dette publique démocratie Rehn.
Extrait : « Lors du débat consacré aux "sociétés européennes à l'épreuve de l'Europe", Pierre Moscovici n'a pas hésité à remercier le commissaire Olli Rehn, en charge des questions économiques et monétaire, d'avoir bien voulu "accorder" à la France un délai de deux années supplémentaires pour le rétablissement de ses comptes publics. »
Laurent Pinsolle, Gaulliste libre, 07-juil-13.
Mots clés : Union bancaire réforme bancaire Allemagne Europe MES fédéralisme BCE.
Extrait : « L’accord sur l’union bancaire auxquels sont parvenus les 27 la semaine dernière n’est en aucun cas un grand pas en avant pour l’Union Européenne. Il consacre au contraire la toute-puissance de Berlin, qui y trouve un moyen de défaire en partie ce qui avait été fait avec le MES. »

FINANCE
Dr. Eberhardt Unger, atlantico.fr, 04-juil-13.
Mots clés : Produits dérivés spéculation finance quantitative easing.
Extrait : « Une épée de Damoclès de 632 579 milliards de dollars pèse sur les marchés mondiaux : opacité, manque de liquidité et spéculation règnent en maîtres. Et si l'épée des produits dérivés tombe, un nouveau carnage financier pourrait bien dévaster la planète finance. »
Hervé Nathan, Marianne, 13-juil-13.
Mots clés : Moscovici finance PS gauche banque taxe Tobin Bourse Euronext lobbys produits dérivés.
Extrait : « Décidément Pierre Moscovici est un cas. Le ministre de l’Economie s’obstine à travailler dans une seule et unique direction : édulcorer systématiquement les réformes promises par François Hollande. Ainsi, alors qu’il aurait du être le bras armé de la lutte contre la finance, « l’ennemi invisible » désigné par le candidat socialiste à la présidentielle lors du discours du Bourget, il s’acharne au contraire à apparaître comme l’agent des financiers dans l’Etat. L’année dernière il avait frappé un premier coup avec sa loi de « séparation des banques », qui ne séparait…rien du tout. A l’époque, Marianne l’avait accusé d’avoir capitulé et d’entraîner ainsi François Hollande dans la voie de la collaboration avec l’adversaire. »

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